Il n'ya de Dieu qu'ALLAH. Et le prophète MOHAMMED aley tou çalat wassalam est son envoyé. La ila a il la la ha.

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"Rien absolument rien de tout ce qui est vécu sur la terre ne vaut tout le tourment qu’on se fait. " Napoléon Hill.

mercredi 8 mai 2013

Interview avec Christian Godefroy, les secrets de sa réussite

Source groupepyramid.free.fr

 Interview réalisé par Vincent delourmel (VD), les-secrets.com

VD : Christian, bonjour et merci d’accepter cette interview. Le but de ce site, au-delà de vous découvrir – ou vous redécouvrir pour ceux qui vous connaissent – est de percer les secrets de votre réussite. D’un point de vue extérieur, vous faites partie de ces personnes « qui ont réussi ». C’est votre sentiment ?
Christian GODEFROY : Pour moi, réussir, c’est pouvoir disparaître de cette terre à tout moment sans avoir de regrets pour tous les rêves que l’on n’a pas réalisés. Dans ce sens je réussis.

VD : Réussir, dans l’esprit des gens, c’est avoir plein d’argent, une belle maison, une belle voiture, une compagne ou un compagnon séduisant(e). C’est votre cas ?


CG : Oui, j’ai assez d’argent pour acheter ce qui me fait envie, 5 maisons, 4 voitures, une compagne que j’adore, mais cela n’est qu’une partie de la réussite. Ce qui est important, c’est le sentiment que l’on a, et non les signes extérieurs. Je ne porte pas de montre, pas de vêtements de marque, et j’ai déjà perdu tous mes biens plusieurs fois dans ma vie. C’est le sentiment intérieur de réalisation personnelle et le bien que l’on fait autour de soi qui compte.

VD : Vous militez pour le positivisme. Durant de nombreuses années, vous avez diffusé des ouvrages de développement personnel. Aujourd’hui, vous continuez votre action à travers votre site club-positif : le positivisme, LE secret essentiel à toute réussite ?

CG : C’est un secret important, il y en a d’autres bien sûr. Sans positivisme, la créativité est étouffée, et l’avenir bouché. C’est comme si on essayait d’accélerer avec un pied sur le frein.

VD : Vous savez, j’ai lu un tas de livres sur diverses techniques de gestion mentale. Je reste quelqu’un d’assez objectif, aussi, même s’il me paraît évident que l’attitude mentale est importante, ce n’est pas suffisant si ?

CG : J’en ai lu moi aussi beaucoup. L’attitude mentale sans action n’est rien. Mais l’action sans une attitude mentale positive est vouée aux problèmes et aux difficultés.

VD : L’autre jour, je discutais avec un jeune homme de 18 ans, complètement perdu et démotivé. Son avenir lui paraît incertain et il ne sait pas ce qu’il veut faire. Alors, la réussite, ça implique quand même de savoir ce qu’on veut faire, non ? Si vous rencontrez ce jeune homme, qu’est-ce que vous lui dites ? Quels conseils lui donnez vous ?

CG : Ouvrir les yeux sur le monde, voir ce qu’il admire, observer ceux qu’il pourrait prendre pour modèle, se dire que si un autre l’a fait il peut le faire lui aussi.

Trop de jeunes se coupent de leur rêves et les enterrent. Ou ils prennent un échec pour une condamnation au lieu d’en faire une étape de leur apprentissage. Si vous n’arrivez pas à rentrer par la porte, essayez la fenêtre, le soupirail, le toit, etc. Il y a toujours une issue.

VD : Aujourd’hui, tout va très vite. J’ai l’impression qu’on ne se donne pas toujours assez de temps pour réussir correctement une tâche. La réussite, c’est aussi une question de temps ?

CG : J’ai connu un scientifique qui se donnait des objectifs à 20 ans. En 20 ans, on peut en effet contribuer à changer le monde.

Si vous gardez tout le temps la tête dans le guidon sans réféchir à votre action, vous risquez de rentrer dans un arbre. Si vous vous arrêtez pour consulter une carte et tracer votre itinéraire, vous arriverez sans doute à bon port.

VD : On va maintenant parler d’un autre secteur que vous maîtrisez parfaitement : le copywriting. Alors, d’abord, qu’est-ce que le copywriting ? Comment avez vous fait pour devenir une référence dans ce domaine ? Quel est votre secret ?

CG : Le copywriting c’est l’art de faire agir les gens avec des mots.
J’ai beaucoup lu, rencontré la plupart des grands de ce domaine, travaillé avec certains, et ma curiosité est insatiable.
Ma réussite est sans doute dûe à mon goût pour le jeu. J’adore parier sur un résultat, et l’échec me galvanise au lieu de me mettre à terre.
Mon secret?
C’est sans doute que l’écrit compense une certaine timidité d’adolescent qui m’empêche dans certaines situations d’exprimer toutes les nuances de ma pensée oralement. J’aime écrire, car on peut corriger. Cela n’a rien de définitif. On a droit à l’erreur.
Le mot CURIOSITE est mon principal secret.

VD : Ecrire pour vous, c’est un jeu ? « Jouer » dans son travail, c’est un peu réussir ?

CG : Ecrire n’est pas un jeu pour moi. C’est du travail. A chaque fois que je le prend comme un jeu, j’échoue. L’écriture ne se satisfait pas du médiocre.
Le jeu me motive, les résultats m’encouragent, mais l’écriture est de la dentelle. Ratez une maille, et l’ouvrage est imparfait.

VD : On parle peu de l’importance de se constituer un réseau. Je lisais il n’y a pas si longtemps un livre sur le marketing relationnel. Vous vous servez d’un réseau pour réussir ce que vous entreprenez et notamment dans le copywriting ?

CG : Nous avons tous des réseaux. Il est vain de penser qu’on peut réussir seul. Je réussis grâce à mes amis - et certains d’entre eux ont réussi grâce à moi. Personne n’est indépendant, nous sommes tous inter-dépendants, et l’accepter, c’est une étape vitale sur le chemin du succès.
VD : Il y a un mythe tenace qui veut que la réussite ne soit accessible qu’à ceux qui travaillent dur et fort. Vous y croyez, vous, à ce mythe ?

CG : Il y a une partie de vrai dans la mesure où il faut agir pour réussir. Mais il vaut mieux avoir peu d’idées et bien les mener à terme que beaucoup et se disperser.
J’ai commencé à réussir lorsque j’ai pris des vacances, beaucoup de vacances. Un esprit libre des soucis du quotidien est beaucoup plus créatif, et l’on réussit avec des idées, pas seulement avec de l’effort. L’effort est même souvent un handicap, dans la mesure où les meilleures réussite se font dans l’enthousiasme et donc sans effort.

VD : Christian, pour terminer, si vous n’aviez qu’un seul conseil à donner à nos lecteurs, ce serait lequel ?

CG : Réfléchir à ce que vous voudriez voir écrit sur votre tombe, et, ensuite, le faire.

VD : Christian, merci de vous être prêté au jeu. Un petit secret pour la fin ?

CG : Faites-vous confiance. Vous avez en vous beaucoup plus de ressources que vous ne le pensez.
Et lorsque la réussite d’une autre personne vous interpelle, demandez-vous quel est son secret. Pensez-y encore et encore. Prendre un modèle, c’est comme avoir un tuteur avant de voler de ses propres ailes. Cela évite de pousser de travers dès le départ, aide à aller dans la bonne direction, donne des forces pour résister aux vents de l’adversité.
Les livres sont un moyen de pénétrer l’esprit, l’intimité des plus grands, sans être limité par le temps ni par l’espace. Lisez donc, prenez modèle, persévérez sans vous laisser abattre par l’opinion du commun.

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