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jeudi 29 novembre 2012

"Le colonel Sanders"

 Cet article a été à l'origine publié sur succesrama.com

La Réussite selon Sanders : sa Persévérance 

Un matin, j’attendais le tramway.
Une affiche publicitaire dans l’abri-bus, vantait les mérites de cette nouvelle chaîne de fast-food KFC qui commence à s’implanter un peu partout en France alors qu’aux État-Unis, elle est déjà très célèbre.
Un homme d’une cinquantaine d’années, qui attendait aussi engagea la conversation à ce sujet  :
- « Je ne suis pas franchement client de ce genre de restauration mais l’histoire de l’homme qui est à l’origine de cette franchise m’a sauvé la vie. »
Interloqué, je lui demandais de m’en dire plus.
Le tramway arriva et nous montions à l’intérieur.
Il me raconta ainsi l’histoire du « Colonel Sanders »
Harland David Sanders né en 1890, issu d’un milieu très modeste, commença à travailler dès l’âge de dix ans.
Sa vie fut ensuite parsemée d’échecs successifs.
Il monta une entreprise pour fabriquer des lampes à carbure (combustion d’une flamme avec du gaz).
Malheureusement le vaste campagne d’électrification lancée sur tout le territoire américain rendit
son affaire obsolète.
Il se lança ensuite dans une carrière de juriste, mais fut radié de la profession à la suite d’une bagarre en pleine audience.
Bien que disculpé, ce coup du sort discrédita définitivement sa réputation dans le milieu…
Sanders monta ensuite un restaurant qui présentait ses talents culinaires, notamment des spécialités du Sud : le poulet frit, de la purée de pommes de terres, préparés selon sa propre recette d’aromates et d’herbes
Pour se perfectionner dans la gestion, il retourna huit semaines en stage à l’Université Cornell.
A son retour le gouverneur du Kentucky lui accorda le titre honorifique de « Colonel du Kentucky » afin de le récompenser pour sa contribution à la cuisine américaine.
La réussite semblait enfin au rendez-vous sauf que, Sanders perdit une bonne partie de sa clientèle à cause de la construction d’une autoroute.
La valeur de son commerce s’étant effondrée, il vendit à perte et pu à peine rembourser ses dettes.
Ruiné, abattu et désabusé « Le Colonel » , âgé de 66 ans, vivota au crochet d’un chèque mensuel de 105 $, délivré par la sécurité sociale et du reste de ses maigres économies.
Là où une majorité de gens auraient pesté contre la fatalité, la malchance ou encore contre l’acharnement du sort pour au final, baisser les bras.
Sanders décida d’agir plutôt que de passer pour une victime.

La clef du succès est de réaliser ce qu’il y a de plus important pour vous et de faire le maximum tous les jours pour améliorer les choses.
Même lorsque vos efforts ne semblent mener à rien.

Convaincu par le potentiel de sa fameuse recette secrète de poulet frit Sanders démarcha des franchisés.
Et sa persévérance fut mise à rude épreuve :
il essuya plus de 1009 refus avant d’entendre le premier Oui.
Il sillonna l’Amérique pendant deux ans dans sa vieille voiture, dormant sur le siège arrière.
Malgré les refus, il s’évertua à être toujours très matinal et plein d’enthousiasme pour partager son idée avec de nouveaux restaurateurs.
Son acharnement fini par payer puisqu’il se retrouva à la fin des années 50, à la tête d’un empire de 400 restaurants en franchise.
A la fois gérant et emblème de sa chaine, le colonel se retrouva propulser au rang de véritable icône de l’Amérique, apparaissant dans de nombreuses publicités KFC et évènements promotionnels de ses restaurants.
Aux alentours de 1963, le « Kentucky Fried Chicken » commença par engendrer 300 000 $ de profits par an.
En protégeant farouchement sa recette secrète, le Colonel ne tarda pas à devenir un septuagénaire multi-millionnaire.


A la fin des années 50, Sanders se retrouva à la tête de 400 restaurants en franchise

A votre avis, combien de gens auraient-ils accepté de se faire dire – Non 1009 fois – pendant deux ans, sans abandonner la partie ?
Très peu.
C’est aussi ce que me dit la personne du tramway.
Vous vous souvenez ? L’histoire du Colonel Sanders lui avait sauvé la vie.

Comment ?

Cet homme effectuait un travail qui ne lui plaisait pas depuis de nombreuses années.
Il avait même fait plusieurs dépressions, pensant qu’il était passé à côté de sa véritable vocation : créer une affaire de gîte, bien à lui.
Si  Sanders était reparti de zéro à 66 ans, lui qui en avait tout juste 50, pouvait aussi réaliser son rêve pour vivre enfin sa passion.
Il me confia avant de nous quitter qu’il devait signer le jour même, l’obtention d’un prêt avec son banquier afin de s’agrandir.
Les deux premières années avaient été difficiles, le temps de se lancer.
Mais maintenant, il affichait souvent complet.
Extraordinaire non ?
Ce  jour-là, j’avais loupé ma station et j’étais également très en retard à mon rendez-vous.
Mais l’histoire de la réussite de cet inconnu, stimulée par la biographie à Succès du Colonel Sanders me gonfla d’énergie pour le reste de la journée.
Et lorsqu’à mon tour, je me sens las, découragé par diverses difficultés, je repense à cette rencontre insolite…
Et vous ?
Est-ce que l’histoire de gens ayant brillamment réussi vous ont aidés à ne jamais abandonner ?

 

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